Pas de secrets entre nous : le sel a toujours été mon condiment préféré pour rehausser le goût de mes plats. J’en étais arrivée à un stade où j’en mettais plus que nécessaire, juste parce que ça me plaisait de bien sentir son effet en bouche.
Du coup, j’ai eu beaucoup de mal à arrêter le jour où mon médecin m’a dit de réduire considérablement ma consommation de sel. J’avais surtout peur que tous mes plats deviennent trop fades pour que je les mange. Par chance, j’ai découvert de petites astuces pour pouvoir (presque) m’en passer. Intéressés ? Je vous montre comment faire.
Les bons réflexes en cuisine
Je le souligne : les changements, c’est depuis la cuisine qu’ils vont devoir s’opérer. Au lieu de forcer sur le sel, je vous suggère de revisiter les saveurs avec des épices, des aromates en tous genres, ou encore des fines herbes. L’huile, l’ail, les herbes parfumées… tout est bon pour concocter des plats qui auront de meilleurs goûts qu’avec beaucoup de sel.
Je vous invite aussi à vous privilégier les préparations maison, au lieu de toujours consommer des briques toutes prêtes. Je pense surtout à la soupe industrielle qui n’a aucune honte à comporter plus de sel que vous ne pourrez normalement en avaler. Avec des plats maison au moins, vous êtes sûr de ne pas avaler n’importe quoi.
Ce qu’il faut bannir ou limiter
D’abord, les aliments qui sont très riches en sel : les charcuteries et autres fromages qu’on aime bien déguster à l’apéro, ou en secret quand on peut faire preuve de laxisme chez soi. Moi aussi ça m’a fait mal de devoir réduire leur consommation à quelques bouchées par mois ! Mais dites-vous que c’est pour la bonne cause.
Pour ce qui est des modes de cuisson, je vous supplie d’oublier la cuisson à l’eau qui va enlever toutes les saveurs de vos plats. Les aliments mijotés en papillote ou encore à l’étouffée s’en sortent beaucoup mieux au niveau du goût. Pensez aussi à ne plus mettre vos salières sur la table de la salle à manger ! Ça vous donnera la flemme de vous lever pour aller en chercher.